Jean Pierre, vous êtes un Dieu vivant… Et oui, c’est dur d’être aimé par des cons.


Ca faisait quelques jours qu’il commençait à mettre des petits commentaires assassins sur les vidéos liées à la diffusion du documentaire “OVNIS, Une Affaire d’Etats” de Dominique Filhol. Quelques jours aussi que j’avais les oreilles qui bourdonnaient, quelques coups de fil indiquant que Jean Pierre Petit revenait… et qu’il n’était pas content…

Ce matin, je découvre ce long message de JPP sur notre chaine YouTube. Il aurait suffit de nous l’envoyer, nous l’aurions directement publié. Concernant l”affaire” des bonnettes, nous avions déjà publié un communiqué, je n’y reviendrais pas. Même s’il y a de grosses inexactitudes dites par JPP. Passons.

Alors, plutôt que de laisser l’appréciation de JPP dans les abimes d’un post sur une vidéo YouTube, nous préférons l’exposer publiquement. De toute façon, d’autres esprits bien pensants le copieront bien volontiers, autant que l’information vienne de nous.

Distribution de baffes générales, Dominique Filhol, Jacques Vallée, Luc Dini, Alain Juillet, les ufologues des années 70, j’en oublie…

Nous incluons initialement notre communiqué du 31 Août 2018 (date à laquelle il nous avait promis du sang et des larmes par mail), le texte de JPP, et notre réponse, le texte “Jean Pierre, vous êtes un Dieu Vivant. Et Oui, c’est dur d’être aimé par des cons…”

Dernier point : Jean Pierre, notre porte (notre salle de conférence) vous est ouverte. Vous voulez nous faire notre fête ? You’re welcome. On fait la vidéo quand vous voulez…



Jean-Pierre, vous êtes un Dieu vivant.

Et oui, c’est dur d’être aimé par des cons.

Jean Pierre, suite à votre nouveau coup de griffe (j’ai le dos bien lacéré maintenant, ça ne fait presque plus mal, parce qu’après s’être fait traité par JPP de con à l’égo démesuré dans une émission en accès libre sur YouTube, le must de l’humiliation, on relativise plus, voir vidéo Nurea…), je me suis dit qu’il était peut-être temps de vous dire ce que j’avais à vous dire.

Partie concernée : 2h 6minutes 30 secondes

L’entendrez vous ? Vous êtes encore là, alors profitons en. De toute façon, puisque comme Icare, ça fait maintenant longtemps que je me suis brulé les ailes en voulant vous approcher de trop prêt, je n’ai pas grand chose à perdre. Et à part de temps en temps un coup de pied au cul que vous nous assénez indirectement (à mon sens immérité) et qui me remonte par mail ou coup de téléphone, je n’espère même plus qu’on puisse ré-échanger constructivement un jour.

Jean-Pierre Petit, en ufologie, c’est comme Tsiolkovski en cosmonautique ou Einstein en physique. C’est le nom d’un Dieu vivant. Un mec burné, libre, sauvage et sans compromis. Vous êtes un personnage légendaire qu’on ne voit normalement que dans les bande-dessinées, une star (dans le sens qui donne une direction mais dont on ne pourra jamais réellement comprendre la quintessence) pour les geeks qui s’intéressent à l’étude de possibles visites exogènes sur ce petit gravier qu’on appelle Terre.

Un mec qui n’a jamais fermé sa gueule, qui l’a même souvent ouverte, au prix d’un ostracisme que vous avez toujours dénoncé, ma foi, à juste titre. La légende dit que c’est vous qui auriez soufflé cette célèbre réplique à Chuck Norris : « Mes pieds, je les mets ou je veux. Et c’est souvent dans la gueule. »

Sur la chose scientifique, soyons clairs, rares sont ceux qui peuvent vous comprendre. C’est le propre des génies. Est-ce un apocryphe, mais Einstein aurait rencontré Charlie Chaplin et voilà ce qu’ils se seraient dit :

« Ce que j’admire le plus dans votre art, dit Albert Einstein c’est son universalité. Vous ne dites pas un mot, et pourtant… le monde entier vous comprend.

C’est vrai, réplique Chaplin. Mais votre gloire est plus grande encore : le monde entier vous admire, alors que personne ne vous comprend. »

Je ne connais personne dans ce domaine de recherches qui penserait seulement à remettre en question votre investissement, votre implication, votre jusquauboutisme pour essayer de faire avancer le sujet.

Vous êtes un modèle unique. On a fondu le moule après vous. C’est comme ça.

Alors oui, les générations suivantes vous paraissent molles, fades, idiotes, creuses, illégitimes, inconsistantes et inconstantes. Si on les compare à vous, je vous donne le point.

J’ai l’impression que malgré la fulgurance de votre pensée, vous n’arrivez pas à intégrer complétement qu’à mettre des baffes dans la gueule des gens, on en obtient pas le meilleur.

Nous essayons, pourtant, Jean Pierre. Croyez moi, nous essayons de faire avancer le sujet. De l’ouvrir au grand public, de lui redonner une audience, de le rendre plus attractif, moins subversif.

Ce n’est surement pas encore assez, mais vos attaques et vos critiques n’aident pas. Nous qui aurions tant aimé profiter de votre expérience, de votre charisme et de votre combativité, vous les retournez contre nous au lieu de nous soutenir, ou au moins de nous aiguiller de façon non intrusive, comme peuvent le faire d’autres grands noms de l’ufologie française.

Nous sommes trop cons pour vous, apparemment.

Jean Pierre, vous êtes un Dieu vivant. Et vous êtes aimé par des cons. Oui, c’est dur d’être aimé par des cons.


Texte de Jean Pierre Petit / copie d’un post tiré de la vidéo “LIVE EXCLUSIF #10 avec Dominique Filhol, Alain Juillet, Luc Dini, Pierre Bescond et Michael Vaillant”

Lien vers la vidéo :

 

Monsieur Fechner,

Cet espace consacré aux commentaires sur cette vidéo va me permettre d’éclairer les internautes sur la démarche en question. Nous nous sommes retrouvés, vous et moi, lors d’un déjeuner il y a deux ans. J’avais alors évoqué mes déboires avec l’association UFO-science http://www.jp-petit.org/ufoscience.pdf dont j’ai démissionné fin 2017, suite au refus formulé par Jean-Christophe Doré de mettre le fichier de la bonnette à réseau (déposée par lui sous le nom de « spectrokit ») qu’il avait développée avec l’imprimante 3D achetée par l’association, en accès libre.

Quelque mois plus tard nous avons, mon ami Rémy Nahan et moi, développé et mis en ligne un modèle qui avait l’avantage de pouvoir être monté sans collage. Modèle qui est téléchargeable à l’adresse (&&& je la rajouterai).  Au cours de ce déjeuner j’avais suggéré au « Mufon-France » que vous étiez censé représenter  d’acquérir une imprimante 3D et de produire ces bonnettes en les vendant à son profit. Nahan a tout fait en ce sens, allant même jusqu’à vous proposer de vous céder à un prix dérisoire une imprimante, et en vous fournissant tous les renseignement techniques. A travers votre réponse :« produisez ces objets, nous les vendrons » il est devenu évident que vous n’étiez pas homme à « mouiller sa chemise ».

Cette vidéo a eu un avantage. Nos recherches sont actuellement freinées par le fait que ma collaboratrice la mathématicienne belge Nathalie Debergh  est trop prise par les tâches d’enseignement qu’elle doit assurer dans une école technique pour pouvoir mener à un rythme soutenu les recherches qu’elle a entreprises, avec succès, sur l’extension des concepts Janus en Mécanique Quantique.  Les propos tenu par Alain Juillet dans votre vidéo conférence ont été immédiatement de nature à nous faire abandonner tout espoir d’une « solution institutionnelle » concernant ce problème.  Le menu est toujours sur la porte : la seule motivation des structures de pouvoir, en France comme à l’étranger du reste, est de rechercher à capter des éléments dans le phénomène ovni pour en faire … des armes. Ce qui était d’ailleurs la conclusion du rapport Cometa d’il y a 20 ans. Position incompatible avec ma vision des choses. 

Une « Fondation Janus » est en cours de montage rapide, pour résoudre ce problème de financement.  Même chose pour une association « Janusuniverse », montée par des citoyens (je n’en fais pas partie)  qui regroupera les signataires de la pétition https://www.mesopinions.com/petition/autres/droit-debat-nouvelle-cosmologie/47327? en une structure ayant alors un statut juridique. Cela pour contraindre des institutions comme l’Institut des Hautes Etudes Scientifiques et l’Académie des Science de se mettre en conformités avec leurs propres statuts. 

Venons-en au « Mufon-France » et à l’ufologie en général.  Ce qu’on y trouve est un copié-collé de ce qui émergeait en France au milieu des années soixante-dix. Les scientifiques, à part moi, s’étant d’emblée détournés du dossier ovni, les « ufologues » y prirent leurs marques, le résultat se traduisant par  une désinformation complète du public. Vous n’étiez sans doute pas né à l’époque.

Des gens comme Pierre Lagrange introduisirent le versant « sciences humaines », s’efforçant de réduire le phénomène ovni à une rumeur.

Puis Jacques Vallée (devenu aujourd’hui un « has been »)  créa le versant « paranormal » avec un grand succès de librairie, à une échelle internationale. Plus adroit que son successeur Philippe Guillemant (« ingénieur-physicien »), informaticien comme lui, Vallée ne prit pas le risque de s’aventurer à développer un modèle, en restant volontairement dans le vague (voir son ouvrage-clé et best seller  « Autre dimension »). A l’inverse Guillemant, étalant au grand jour  l’imposture de son prétendu statut de « physicien »,  déroule un discours qu’il n’est qu’un assemblage de mots mis bout à bout, sans la moindre consistance. https://www.youtube.com/watch?v=_hs6yJkBphc C’est caricatural et au delà du ridicule. 

Mais ce discours prend naturellement place dans ce vide qu’est « l’ufologie version 2020 ».  Pour info j’avais répondu favorablement à Mr Dini concernant l’exposé de mon point de vue sur le sujet : (https://www.youtube.com/watch?v=56fGzcp6bIU&feature=youtu.be ). Ca n’a jamais eu de suite Dans la même veine Bescond déclare que « rien n’a pu être fait en matière scientifique vis à vis du phénomène ovni ».  Mais il n’y a pas pire sourde que celui qui ne peut pas comprendre. 

Sur le terrain médiatique Dominique Filhol rejoint cette médiocrité du discours, qui me disait au téléphone «  qu’il rêverait de filmer un échange entre Guillemant et moi ». Sans commentaire. 

Enfin émerge cette idée comme quoi le Gepan devrait assurer une formation « a minima mais diplomante (…) en ufologie» d’ufologues-enquêteurs.  A cela je répondrai qu’il est prévu d’exiger du Gepan, par voie juridique, qu’il produise l’argent dépensé, en 43 années, au regard des résultats obtenus, d’une totale vacuité. Je pense que par les temps de crise que nous traversons l’Etat Français gagnerait à fermer cette officine ridicule, cela éviterait de gaspilller les deniers de l’Etat.  

J’espère, à travers ces quelques lignes, que les internautes percevront la vacuité de votre démarche. La clé de tout cela est que tout individu s’efforce de situer un problème dont il entreprend de s’occuper dans le domaine de sa compétence. Ma démarche personnelle a consisté à tenter de faire le lien entre le phénomène ovni et les domaines les plus avancés de la physique contemporaine.

Voir https://www.youtube.com/watch?v=56fGzcp6bIU&feature=youtu.be et https://www.youtube.com/watch?v=RXKONGBClY0.   La démarche du Mufon-France revient à situer la question ovni dans un « cadre ufologique », c’est à dire dans une boite vide où chacun peut arguer d’une compétence imaginaire.

Wired : Le New York Times cessera-t-il jamais de faire rapport sur les ovnis ?

Wired : Le New York Times cessera-t-il jamais de faire rapport sur les ovnis ?

“Pour comprendre l’intérêt soutenu du Times pour les OVNIS, il faut apprécier le rôle central d’Elizondo dans sa couverture. Sa volonté de démissionner du Pentagone en 2017 et de révéler ensuite l’existence et les détails du programme OVNI qu’il aurait dirigé, a fourni la gravitas au centre du compte initial du Times. Sans lui, il est probable que l’histoire n’aurait pas eu autant de succès.”

Wired


Réglement de compte à OK Corral ? On commence la semaine avec cette charge appuyée de Wired sur le New York Times, les accusant manifestement de jouer le putaclic et l’accompagnement publicitaire de TTSA et de Luis Elizondo.

C’est une façon de voir les choses. Maintenant, le journalisme indépendant existe-t-il encore ? A-t-il jamais existé ? Rien n’est moins sur… Surtout que Wired n’est pas le dernier à parler du sujet. Après, l’article avance des arguments audibles. Donc à chacun de voir midi à sa porte.

Lien vers l’article :

https://www.wired.com/story/will-the-new-york-times-ever-stop-reporting-on-ufos/


Proposition de traduction :

EN DÉCEMBRE 2017,le New York Times a publié une première page sur un programme “sombre” du Pentagone OVNI qui a enquêté sur les rencontres entre des pilotes de chasse de la Marine et des objets mystérieux défiant la gravité. Illustré de plusieurs vidéos de cockpit granuleux publiées sur le site Web du Times, le scoop était captivant. ABC News l’a appelé une «bombe». Brett Baier de Fox News a déclaré: “beaucoup de gens prennent cette révélation au sérieux.”

Beaucoup de journalistes, bien sûr. De nombreux consommateurs de nouvelles ont raconté l’histoire comme un nouvel épisode de X-Files, mais personne n’a couru pour les collines, et personne au Congrès n’a appelé à des auditions sur la «révélation» et ses implications apparemment énormes pour la civilisation. Comme un observateur sur Twitter a noté : « Je veux dire le New York Times littéralement nous a donné la preuve d’ovnis et le monde n’a pas sauter un battement. »

C’est parce que le monde ne croyait pas qu’il y avait beaucoup à l’histoire – ou, du moins, le monde ne croyait pas à ce que le journal faisait allusion. En effet, les preuves vantées par le Times (comme un morceau d’épave surnaturelle prétendument récupéré) ont été déchiquetées assez facilement par les écrivains du New York Magazine , Scientific American et WIRED . Oui, plusieurs pilotes de la Marine avaient vu un objet ovale blanchâtre planer au-dessus de l’océan avant de s’élancer; mais non, cela ne voulait pas dire que c’était un avion extraterrestre, car la principale source du scoop semblait impliquersur CNN. Mais le Times est resté sur le rythme. Au cours des dernières années, le journal a publié plus d’une douzaine d’histoires liées aux ovnis; le dernier arrivé dans le journal de vendredi.

Le dernier épisode documente d’autres «rencontres rapprochées» entre des pilotes de la Marine et des «véhicules aériens non identifiés» qui remontent à 2013 et 2014. Les enseignements à tirer de cette histoire et des autres sont sans équivoque: une sorte de technologie aéronautique inconnue et très avancée empiète sur l’espace aérien militaire américain et déjoue les pilotes de haut vol. Si cela est vrai, cela semblerait révéler une vulnérabilité alarmante de la défense nationale.

Et pourtant, il n’y a pas un coup d’œil, dans tous ces reportages sensationnels, des cuivres militaires concernés; et nary un appel à une enquête plus approfondie de la part de la sécurité nationale. Vous pouvez rechercher dans la presse accréditée de l’industrie de la défense, qui couvre chaque politique du Pentagone, l’approvisionnement et la bataille du gazon dans les moindres détails, et avoir du mal à trouver toute mention d’OVNI rusés qui ont menacé les aviateurs navals. Mais c’est l’histoire qui sort du dossier depuis près de trois ans maintenant. C’est un récit curieux qui semble être motivé par des rapports à faible source et inclinés. Une attention particulière a été accordée aux explications prosaïques les plus probables. Au lieu de cela, la couverture a, pour la plupart, pris un cadre mystérieux et mystérieux qui joue sur la balise accrocheuse “OVNI” dans le titre.

L’histoire de vendredi est une affaire minimaliste, tirée en grande partie d’un ensemble de rapports de la Marine récemment publiés qui ont été rédigés pour lapremière fois par un blogueur militaire plus tôt dans la semaine. L’article du Times ne contient aucune citation des pilotes et aucune citation des responsables du ministère de la Défense ou de toute autre branche des services armés qui auraient pu parler des incidents. Il n’y a également aucune contribution d’experts de l’aérospatiale ou de l’aviation qui pourraient être en mesure de placer ces «rencontres rapprochées» dans un contexte plus éclairé. Ici, je me réfère spécifiquement à une question de préoccupation croissante parmi ceux de l’industrie de l’aviation militaire et civile américaine: la prolifération des drones commerciaux et privés au cours de la dernière décennie.

Cette préoccupation est bien documentée et a été largement couverte ailleurs dans les médias. « Drones jouets Rogue interfèrent avec les opérations militaires », lit un 2015 Washington Post titre . En effet, le problème a été repris par les think tanks et au Congrès; et il a été agi par la FAA en 2017 — la même année, le Times a déclenché la dernière itération de l’ engouement pour les OVNIS . Toujours en 2017, le Pentagone a autorisé l’armée à abattre des drones non autorisés volant dans un espace aérien américain restreint.

Le nouveau rapport du Times ne contient aucune odeur de ce contexte important. Il fait plutôt référence une fois de plus à «un programme du Pentagone peu connu qui, pendant des années, a examiné des rapports d’objets volants non identifiés, le programme avancé d’identification des menaces aérospatiales». notant également que «l’existence du bureau a été signalée par le Times en 2017».

Ce serait le même que celui décrit dans le scoop original du journal. Il est intéressant de noter que le Times, dans l’article de cette semaine, ne cite ni ne mentionne même l’ancien officier du renseignement militaire Luis Elizondo, qui aurait dirigé ce programme du Pentagone du plus profond du labyrinthe du bâtiment, selon l’histoire de 2017; et qui a ensuite été largement interviewé par d’autres médias. Considérons une histoire similaire du Timesil y a un an, qui faisait également la chronique des rencontres des pilotes de la Marine avec des «objets étranges» qui se déplaçaient prétendument à des «vitesses hypersoniques» et «apparaissaient presque quotidiennement de l’été 2014 à mars 2015» Dans cette pièce, Elizondo est cité avec autorité comme le «fonctionnaire du renseignement militaire» qui avait dirigé le programme OVNI du Pentagone et est cité comme décrivant les derniers rapports de la Marine comme une «série frappante d’incidents». Le timing de cette histoire splashy de mai 2019 était apparemment fortuit: une nouvelle série de chaînes d’histoire mettant en vedette Elizondo comme l’ancien chasseur d’OVNI du Pentagone venait de commencer.

Pour comprendre l’intérêt soutenu du Times pour les OVNIS, il faut apprécier le rôle central d’Elizondo dans sa couverture. Sa volonté de démissionner du Pentagone en 2017 et de révéler ensuite l’existence et les détails du programme OVNI qu’il aurait dirigé, a fourni la gravitas au centre du compte initial du Times. Sans lui, il est probable que l’histoire n’aurait pas eu autant de succès.

Il n’y a qu’un seul problème. Comme je l’ai signalé l’année dernière, “Il n’y a aucune preuve discernable qu’il [Elizondo] ait jamais travaillé pour un programme gouvernemental d’OVNI, encore moins dirigé.” C’est peut-être pourquoi la dernière histoire de soucoupes volantes du Times ne le mentionne pas du tout; tandis que celui qui est sorti le mois dernier ne fait aucune déclaration sur la nature de son travail antérieur pour le Pentagone. Là, il est plutôt décrit comme le «directeur des programmes gouvernementaux» pour une entreprise privée qui «recueille et recherche» des documents liés aux OVNIS. Cette même société se trouve avoir été fortement impliquée dans la production de la série de chaînes History de l’année dernière.

Est-ce que c’est vraiment important? Il est certainement étrange qu’une histoire si peu semble prendre au sérieux continue de faire la une des journaux, en particulier à ce stade. Elizondo a également persisté dans les nouvelles. Le Times a peut-être évolué, mais les émissions de télévision par câble le trouvent toujours irrésistible. Lors d’ apparitions l’an dernier avec Tucker Carlson, Elizondo a déclaré que lui et la société privée qui l’emploie maintenant étudiaient des morceaux d’un éventuel engin extraterrestre. Elizondo a également dit à Carlson qu’il croyaitle gouvernement américain était en possession d’un véritable OVNI. C’est une histoire obsolète des annales des soucoupes volantes, mais bon, peut-être qu’Elizondo pourra lui redonner vie. Le fait que le New York Times continue de publier de nouveaux rapports sur les pilotes de la Marine et leurs ovnis ne peut que l’aider dans cette cause.

Intelligencer : La vérité est (toujours) là-bas

Intelligencer : La vérité est (toujours) là-bas

La Marine pourrait avoir la réponse. Ses pilotes ont signalé huit rencontres avec des «véhicules aériens non identifiés» entre 2013 et 2019, a rapporté jeudi le New York Times . Dans certains cas, les pilotes de la Marine sont presque entrés en collision avec les objets.

Intelligencer 


Intelligencer revient sur les “rapports de danger”, un article qu’a sorti le NY TImes cette semaine, mais n’oublions pas que le vrai découvreur de l’info est Tyler Rogoway pour The War Zone.

Lien vers l’article :

https://nymag.com/intelligencer/2020/05/ufos-ahoy-new-navy-report-documents-mysterious-encounters.html


Proposition de traduction :

Cette année a déjà vu un fléau. Il est temps de passer au niveau supérieur et d’explorer de nouveaux horizons apocalyptiques. Une nouvelle dépression économique? Mauvais! Donald Trump? Vraiment pas génial! Qu’est-ce qui pourrait être pire? Eh bien, la Marine pourrait avoir la réponse. Ses pilotes ont signalé huit rencontres avec des «véhicules aériens non identifiés» entre 2013 et 2019, a rapporté jeudi le New York Times . Dans certains cas, les pilotes de la Marine sont presque entrés en collision avec les objets.

Le Times avait déjà couvert plusieurs des incidents détaillés dans le rapport de jeudi. Dans un cas, un ancien pilote de la Marine “a décrit une rencontre rapprochée au large de Virginia Beach avec ce qui ressemblait à une sphère volante enfermant un cube, comme raconté par un autre pilote et rapporté plus tard à l’officier de sécurité de l’escadron”, indique le journal. Maintenant, une demande d’accès à l’information a publié une nouvelle authentification pour ces incidents, et des rencontres détaillées non signalées.

En 2014, par exemple, le radar a suivi un objet «de la taille approximative d’une valise» qui se trouvait à moins de 1 000 pieds d’un jet de la Marine. Pour citer de nombreux comptes Twitter libéraux, ce n’est pas normal. Mais cela signifie-t-il que des extraterrestres nous ont jalonnés? Il est difficile d’imaginer ce qu’ils pourraient trouver de valeur ici, sur notre planète en train de rôtir rapidement. S’ils n’ont pas besoin d’eau potable ou d’air pur, alors, oui, ils ont peut-être trouvé le paradis, mais sinon, à quoi ça sert?

De plus, de nombreux objets terrestres sont anormaux. Considérez les chiens robots Boston Dynamics. Ils me remplissent d’une terreur primitive accablante, mais je reconnais qu’ils ne sont pas d’origine étrangère. L’esprit de l’homme est une chose horrible.

Ensuite, il y a les satellites Starlink de SpaceX . Pour les personnes qui les ont récemment vues la nuit, les satellites semblaient suspects. Mais ils ne sont pas non plus étrangers, sauf si Elon Musk est encore plus néfaste que nous ne le pensons tous. Une mise en garde similaire s’applique aux objets rencontrés par les pilotes de la Marine. Ils pourraient également avoir des explications banales, comme le Times et le ministère de la Défense prennent soin de le souligner. Bien sûr, ils le diraient! J’ai vu l’ épisode Star Trek: Deep Space Nine où les Ferengi remontent dans le temps jusqu’à Roswell, et je suis sceptique quant à mon gouvernement.

Le Times a signalé pour la première fois l’existence du programme avancé d’identification des menaces aérospatiales du Pentagone en 2017; le programme a fermé ses portes en 2012. Mais des nouvelles extraterrestres se sont répandues depuis. En avril, le Pentagone a publié trois vidéos représentant des objets non identifiés se déplaçant à grande vitesse. “Je me demande simplement si c’est réel”, a déclaré le président Trump à Reuters. “C’est une sacrée vidéo.” Il a raison! C’est inquiétant. C’est peut-être le Ferengi. Peut-être que ce sont les étranges créatures à grande tête de Signs , celles qui détestent l’eau et les filles VSCO du pays se lèveront et nous défendront avec leurs Hydro Flasks. J’entends que la Force spatiale recherche des recrues.

Kean – Blumenthal : Des rapports de la Marine décrivent des rencontres avec des objets volants inexpliqués

Kean – Blumenthal : Des rapports de la Marine décrivent des rencontres avec des objets volants inexpliqués

“Les dossiers de la Marine, connus sous le nom de «rapports de danger», décrivent à la fois des observations visuelles et radar, y compris des appels rapprochés avec des véhicules aériens ou des «systèmes d’aéronefs sans pilote».”

Leslie Kean pour le NY Times


Kean et Blumenthal (oui, les deux tenaient déjà le stylo en Décembre 2017 dans ce mythique article du NY Timesannonçant l’AATIP) reprennent leur clavier pour aborder ces fameux rapports de danger.

Je crois qu’on tient notre deuxième thème d’actu pour le Flash Ufo de Dimanche soir…

Lien vers l’article :


Proposition de traduction :

Des pilotes de chasse de la Marine ont signalé des rencontres rapprochées avec des véhicules aériens non identifiés, dont plusieurs dangereusement proches, dans huit incidents entre le 27 juin 2013 et le 13 février 2019, selon des documents récemment publiés par la Marine.

Deux événements se sont produits le même jour, selon l’un des huit rapports de sécurité non classifiés de la Marine publiés en réponse aux demandes déposées en vertu du Freedom of Information Act par des organes de presse, dont le New York Times.

Le mois dernier, le ministère de la Défense a authentifié trois vidéos de rencontres aériennes précédemment publiées par le Times, accompagnant les témoignages de pilotes de la Marine qui ont rapporté de telles rencontres rapprochées.L’US Navy a officiellement publié des vidéos précédemment publiées montrant des objets inexpliqués.

Les incidents dans les vidéos ont fait l’objet d’une enquête par un programme du Pentagone peu connu qui, pendant des années, a examiné les rapports d’objets volants non identifiés, le Advanced Aerospace Threat Identification Program. L’existence du bureau a été signalée pour la première fois par le Times en décembre 2017.

Bien que certaines des rencontres aient été signalées publiquement auparavant, les communiqués de la loi sur la liberté de l’information incluent les dossiers officiels de la Marine documentant les incidents, y compris les descriptions des pilotes de ce qu’ils ont vu.

Les dossiers de la Marine, connus sous le nom de «rapports de danger», décrivent à la fois des observations visuelles et radar, y compris des appels rapprochés avec des véhicules aériens ou des «systèmes d’aéronefs sans pilote».

Un incident, survenu le 26 mars 2014 au-dessus de l’océan Atlantique au large de Virginia Beach, impliquait un objet en argent «d’environ la taille d’une valise» qui a été suivi par un radar passant à moins de 1 000 pieds d’un des jets, selon le rapport.

Certains des incidents concernaient des escadrons de chasse à bord du porte-avions Theodore Roosevelt. L’un des anciens pilotes du F / A-18 Super Hornet, le lieutenant Ryan Graves, a décrit l’année dernière une rencontre rapprochée au large de Virginia Beach avec ce qui ressemblait à une sphère volante renfermant un cube, raconté par un autre pilote et rapporté plus tard à l’escadron officier de sécurité.

L’incident a été documenté dans un rapport avec peu de détails le 27 juin 2013, qui a déclaré que l’équipage de l’avion de la Navy a vu quelque chose passer à environ 200 pieds du côté droit. Avec un panache de fumée visible émis par la section arrière, “l’avion était de couleur blanche et avait approximativement la taille et la forme d’un drone ou d’un missile”, selon le rapport.

Aucune autre agence n’effectuait de vols de drones ou de lancements de missiles dans la région à ce moment-là, selon le rapport. “Les véhicules aériens sans pilote représentent une menace de collision aérienne importante”, a rapporté le commandant.

Les incidents concernaient plus que cet escadron, le VFA-11 «Red Rippers» de la Naval Air Station Oceana, en Virginie. Les documents montrent que les commandants ont pris les incidents au sérieux, avertissant de la probabilité d’une collision en vol.

Les responsables du ministère de la Défense ne décrivent pas les objets comme extraterrestres, et les experts soulignent que des explications terrestres peuvent généralement être trouvées pour de tels incidents. Même l’absence d’explication terrestre plausible ne rend pas probable une explication extraterrestre, disent les astrophysiciens.

Lors des entretiens, cinq des pilotes impliqués ont évité de spéculer sur la source des objets. La Marine, dans ses rapports, a également évité une telle conjecture.

Trois incidents se sont produits dans l’espace aérien à usage exclusif, ce qui signifie qu’aucun autre avion n’était autorisé à voler dans cette zone.

Un autre rapport sur un incident survenu le 18 novembre 2013 a alarmé. “En raison de leur petite taille, de nombreux UAS sont moins significatifs visuellement et apparents au radar et présentent donc un risque important de collision en vol”, selon le rapport, en utilisant une abréviation pour les systèmes d’aéronef sans pilote.

Moins d’un mois plus tard, un pilote qui avait été assuré qu’il n’y avait pas de circulation dans sa région a détecté une piste radar à une altitude de 12 000 pieds et à moins d’un mile de distance. “Il a pu identifier un petit retour visuel blanc à l’emplacement de la piste radar”, indique le rapport.

Un rapport de collision «quasi en vol» du 26 mars 2014, également dans l’espace aérien à usage exclusif, impliquait deux F / A-18E Super Hornet de l’escadron VFA-106. Un pilote s’est approché et a rapporté avoir vu un petit objet métallique argenté de la taille d’une valise. «Le pilote est passé à moins de 1 000 pieds de l’objet. Impossible de l’identifier », indique le rapport.

Le pilote a transmis l’information à l’installation locale de contrôle et de surveillance de la flotte, qui avait reçu plusieurs rapports d’observation ces derniers mois. “Cela présente un problème de sécurité important, étant donné que cet avion inconnu a été détecté dans une zone à usage exclusif”, a déclaré le commandant. «Je pense que ce n’est peut-être qu’une question de temps avant qu’un de nos F / A-18 n’entre en collision avec un UAS non identifié»

Le 23 avril 2014, deux objets ont été suivis au radar, ne communiquant pas, et deux autres objets relativement petits ont été observés en même temps volant à grande vitesse au large des côtes de Virginie, selon un autre rapport. Ces événements représenteraient «une grave menace pour l’aviation navale».

“Ce n’est qu’une question de temps avant que cela ne se traduise par un vol en W-72”, selon le rapport, en utilisant la désignation d’espace aérien. «Il s’agissait de la deuxième occurrence de l’escadron au cours des 10 derniers mois.»

L’incident le plus récent inclus dans les documents du Freedom of Information Act ne semble pas être lié à un objet volant non identifié. Le 13 février 2019, un ballon météo rouge a été repéré à 27000 pieds par quatre appareils, alors qu’aucun n’était censé se trouver dans la région. Le rapport conclut que «le ballon météo a été libéré sans en avertir les canaux appropriés».

Voici les rapports des pilotes de la Navy sur les rencontres avec des avions mystérieux au large de la côte est

Voici les rapports des pilotes de la Navy sur les rencontres avec des avions mystérieux au large de la côte est

“L’existence apparente de rapports de dangers qui ne se sont pas réellement rendus au Naval Safety Center rappelle à certains égards l’enquête sur le soi-disant objet non identifié Tic Tac qu’une paire de Super Hornets F / A-18F repéré volant près de la Nimitz Carrier Strike Group en 2004. Après cette rencontre, le haut responsable du renseignement du Nimitz Carrier Strike Group a envoyé un rapport complet au bureau du renseignement de la 3e flotte de la marine américaine, dont le siège est à San Diego, en Californie, par e-mail sécurisé. Pour des raisons qui restent inexpliquées, l’officier supérieur du renseignement a refusé d’envoyer le rapport plus haut dans la chaîne de commandement et a supprimé le courrier électronique. “

The War Zone


Nouvel article de Tyler Rogoway pour The War Zone, qui a réussi à recevoir de nouveaux rapports déclassifiés d’UAP. On constate ici que les descriptions ne sont pas hyper spectaculaires en matière d’évolution des objets, faisant de nouveau penser à des Drovnis, selon la formule consacrée de Claude Lavat.

Alors, mésentente et désorganisation entre corps de l’armée américaine, matériel d’une puissance privée ou publique étrangère, ou autre chose ? Si le débat reste ouvert, il serait sain de recadrer le débat et de l’orienter vers la nécessité de définir une importance d’identification, parce qu’il y a de fortes chances que les corps d’armées d’autres pays aient également ce type d’observations dans ses tiroirs.

Oui, c’est bien ce silence qui créé du métal dont on fait les soucoupes.

Merci à Irving Quester de nous avoir signalé cet article.

Lien vers l’article :

https://www.thedrive.com/the-war-zone/33371/here-are-the-detailed-ufo-incident-reports-from-navy-pilots-flying-off-the-east-coast?fbclid=IwAR2bEw3rFDC81ET3QjOEnqOwexRsokkkIDhCN6suS_Sd_F8gRRvp-g6X3n4


Proposition de traduction :

l y a près d’un an, le témoignage d’un pilote de chasse de la Marine au sujet d’une éruption apparemment bizarre de rencontres avec des engins non identifiés volant dans un espace aérien restreint au large de la côte est a frappé le nouveau cycle avec éclat . Dans les mois qui ont suivi, peu de détails supplémentaires sur ces rencontres ont été révélés. Pendant ce temps, The War Zone a lentement assemblé les blocs de construction d’ une affairecela peut les expliquer. Ce qui nous manquait encore, c’était tout document officiel de la Marine qui leur faisait allusion. Maintenant, cela a changé, et vous serez peut-être surpris de savoir ce que ces documents nouvellement obtenus disent réellement et quand les incidents qu’ils ont décrits se sont produits – ou ne se sont pas produits – d’ailleurs.

La Zone de guerre a obtenu les huit rapports de danger, qui sont tous marqués “Non classifié” et “Pour usage officiel uniquement”, via une demande de la loi FOIA au Naval Safety Center. Sept d’entre eux impliquent des Super Hornets F / A-18E / F et se sont produits à différents moments entre 2013 et 2014 dans une zone d’espace aérien au large des côtes de la Virginie et de la Caroline du Nord connue sous le nom de zone d’avertissement W-72. Les huitièmes incidents ont eu lieu en 2019 et impliquaient un EA-18G Growler volant dans une autre partie de l’océan Atlantique au large de la côte du Maryland appelée zone d’alerte W-386.

L’officier de la FOIA qui a traité notre demande a déclaré qu’il s’agissait des huit seuls rapports du système WESS (Web-Enabled Safety System (WESS) Aviation Accident and Hazard Reporting System) pour faire face aux rencontres de l’aviation navale avec des objets non identifiés, des ballons et tout autre objet similaire. nulle part. WAMHRS est une base de données informatique centralisée qui est censée contenir tous les rapports de risques et d’incidents de vol que les unités de l’aviation de la Marine déposent auprès du Naval Safety Center.

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Une carte de l’espace aérien de la côte médio-atlantique des États-Unis montrant la zone d’avertissement du W-72, où se sont produits les incidents dans sept des huit rapports. Le dernier incident s’est produit dans la zone d’avertissement W-386, qui est également visible ici.

# 1, 27 juin 2013: F / A-18F Super Hornet, Strike Fighter Squadron 11

Le 27 juin 2013, un F / A-18F Super Hornet du Strike Fighter Squadron 11 (VFA-11), volant de la Naval Air Station Oceana en Virginie, a rencontré un “avion [qui] était de couleur blanche et d’environ la taille et la forme d’un drone ou d’un missile “dans la zone d’avertissement W-72. L’équipage de l’avion l’a “visuellement” acquis en le voyant “passer sur le côté droit de son appareil avec environ 200 pieds de séparation latérale” tout en volant à une altitude de 17 000 pieds. Il grimpait et avait une piste d’échappement visible.

Ni le Super Hornet ni le NAS Oceana n’ont enregistré une trace radar de l’objet. Le commandant de la Strike Fighter Wing Atlantic, abrégé dans le rapport CSFWL, “a contacté les unités opérationnelles mais personne n’a signalé d’opérations de cette nature”. L’installation de contrôle et de surveillance de la flotte de Virginia Capes (FASCFAC VACAPES) “a examiné les bandes radar et aucun avion n’a été identifié [sic] ou noté dans la zone”.

La Marine n’a émis aucun avis aux aviateurs (NOTAM) ou restrictions de vol temporaires (TFR) sur la base de ce rapport de danger, mais a émis des avis internes aux unités d’aviation tactique, aux contrôleurs de la circulation aérienne et aux exploitants de véhicules aériens sans pilote pour être au courant du potentiel les dangers posés par des opérations de drones non autorisées ou non coordonnées.

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# 2, 18 novembre 2013: F / A-18E Super Hornet, Strike Fighter Squadron 143

Un F / A-18E Super Hornet du Strike Fighter Squadron 143 (VFA-143), volant hors de la Naval Air Station Oceana en Virginie, a repéré un objet dans la zone d’avertissement W-72 par radar sur son nez à environ 12000 pieds et un une vitesse d’environ 0,1 Mach le 18 novembre 2013. “L’avion avait une envergure d’environ 5 pieds et était de couleur blanche sans autres caractéristiques distinctes”, selon le pilote qui a pu acquérir visuellement l’objet et l’a suivi pendant une heure.

Ce rapport indique que la Marine a conclu que cet objet était un système aérien sans pilote (UAS), mais que le commandant, Strike Fighter Wing Atlantic et Fleet Area Control and Surveillance Facility, Virginia Capes (FASCFAC VACAPES), ce dernier est également identifié ici par son indicatif Giant Killer, n’a pas pu déterminer l’opérateur. Comme ce fut le cas le 27 juin, la Marine a émis une série d’avertissements internes, mais rien n’indique qu’elle ait émis des avis aux aviateurs (NOTAM) ou des restrictions de vol temporaires (TFR).

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L’insigne de l’unité de l’installation de contrôle et de surveillance de la flotte, Virginia Capes (FASCFAC VACAPES), qui comprend également l’indicatif d’appel Giant Killer.

Plus curieusement, ce rapport note que “le trafic de surface était faible avec un seul chalutier de pêche commerciale stationnaire et un seul navire naval américain non identifié voyageant vers le sud” pendant l’incident, mais que “l’identité du navire naval à proximité était indéterminée”. On ne sait pas du tout comment la Marine a pu déterminer qu’un de ses navires opérait à la surface dans la même zone générale, mais pas en mesure de déterminer de quel navire il s’agissait spécifiquement.

À la fin du rapport, les inquiétudes concernant les aéronefs inconnus évoluant dans les zones d’avertissement deviennent clairement plus palpables.

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# 3, 18 novembre 2013: F / A-18E Super Hornet, Strike Fighter Squadron 14 3

Le rapport est effectivement identique à l’autre du 18 novembre 2013, mais est la confirmation du pilote d’un deuxième F / A-18E Super Hornet du Strike Fighter Squadron 143 (VFA-143) qu’ils ont vu le même objet à peu près la même position.

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# 4, 26 mars 2014: F / A-18E Super Hornet, Strike Fighter Squadron 106

Le 26 mars 2014, un F / A-18E Super Hornet du Strike Fighter Squadron 106 (VFA-106), décollant de la Naval Air Station Oceana, a détecté une piste radar possible à environ 19000 pieds et à une vitesse de 0,1 Mach. dans la zone d’avertissement W-72. L’ailier du pilote n’avait pas l’objet sur le radar et il y a eu un débat pour savoir s’il pouvait s’agir d’une fausse trajectoire compte tenu des vents forts, avec des rafales à plus de 100 nœuds à 18 000 pieds.

“L’avion inconnu semblait être de petite taille, environ la taille d’une valise et de couleur argentée”, selon le rapport. Le pilote n’a pu passer qu’à moins de 1 000 pieds de lui et n’a pas pu l’identifier. Après ce passage, ils l’ont perdu de vue et n’ont jamais retrouvé de contact visuel.

Ce rapport note que l’installation de contrôle et de surveillance de la flotte de Virginia Capes (FASCFAC VACAPES) n’a de nouveau pas repéré cet objet sur ses écrans radar. Cependant, le commandant du VFA-106 a également noté que FASCFAC VACAPES “ne peut pas détecter une cible de cette taille s’il ne crie pas IFF [Identification Friend or Foe] ou communique par radio”, ce qui “présente une préoccupation de sécurité importante, étant donné que cette un avion inconnu a été détecté dans une zone d’utilisation exclusive. ”

“Je pense que ce ne sera peut-être qu’une question de temps avant qu’un de nos avions F / A-18 n’entre en collision avec un UAS [système aérien sans pilote] non identifié”, a ajouté le responsable du VFA-106 dans ses commentaires. Le rapport indique également que “FACSFAC VACAPES a reçu plusieurs observations d’UAS au cours des derniers mois”, mais ne précise pas combien de ces observations ont abouti à l’envoi de rapports de danger. Rien n’indique que ce rapport particulier ait donné lieu à des avis aux aviateurs (NOTAM) ou à des restrictions de vol temporaires (TFR), bien qu’il ait déclenché des alertes internes supplémentaires de la Marine.

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# 5, 23 avril 2014: F / A-18F Super Hornet, Strike Fighter Squadron 11

Un autre F / A-18F Super Hornet du Strike Fighter Squadron 11 (VFA-11) a rencontré plusieurs “appareils aériens non identifiés” (UAD) le 23 avril 2014, alors qu’il décollait de la Naval Air Station Oceana et opérait dans le Zone d’avertissement W-72. L’équipage a initialement détecté deux UAD sur radar, l’un à 12 000 pieds et l’autre à 15 000 pieds, apparemment stationnaires ou quasi stationnaires à 0,0 Mach. Ils ont ensuite confirmé ces deux objets en utilisant le système infrarouge avancé de ciblage avancé (ATFLIR) du jet.

Lors de l’enquête sur la première paire d’UAD, deux autres semblaient traverser le champ de vision d’ATFLIR à grande vitesse. Les deux objets en mouvement ne sont pas apparus sur le radar de l’avion.

Le flot typique d’avertissements internes a suivi après que la Marine ait déterminé qu’elle ne pouvait pas identifier les objets ou leurs opérateurs. Le commandant du VFA-11 a notamment inclus une note de ton semblable à celle que le chef du VFA-106 a soumise avec le rapport de danger le 26 mars 2014. “Bien que ce rapport soit principalement soumis à des fins de suivi, il est ce n’est qu’une question de temps avant que cela n’entraîne une [collision] en vol dans le W-72 “, ont-ils déclaré.

De plus, le commandant de la VFA-11 a noté que c’était la deuxième fois en 10 mois que l’un des escadrons de l’avion avait eu une telle rencontre. Il s’agit d’une référence au rapport du 27 juin 2013 et indique clairement que cet escadron en particulier n’avait rencontré aucun autre objet non identifié entre ces deux incidents.

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# 6, 24 avril 2014: Deux Super Hornets F / A-18F, Strike Fighter Squadron 11

Le 24 avril 2014, dans la journée du F / A-18F Super Hornet du Strike Fighter Squadron 11 (VFA-11) ayant rencontré quatre “appareils aériens non identifiés” (UAD), deux autres F / A-18F a établi un contact radar avec un autre UAD dans la zone d’avertissement du W-72 tout en effectuant des manœuvres de base de chasse (BFM aka dogfighting) depuis la Naval Air Station Oceana. Les deux avions ont pu maintenir une trace radar avec l’objet, qui était stationnaire ou presque stationnaire à 0,0 Mach à 11 000 pieds. L’avion a également pu se verrouiller sur l’objet avec ses CATM-9X, une version d’entraînement en captivité du missile AIM-9X Sidewinder . Cependant, dans ce cas, aucun des deux n’a établi de contact visuel.

La Marine a émis davantage d’avertissements internes et le commandant de la VFA-11 a noté qu’il s’agissait du troisième incident de ce type en 10 mois pour l’escadron. Cet officier a également noté que cette rencontre avait eu lieu moins de 24 heures après celle du 23 avril.

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# 7, 27 avril 2014: F / A-18F Super Hornet, Strike Fighter Squadron 11

Le 27 avril 2014, pour la troisième fois en cinq jours, l’équipage d’un F / A-18F du Strike Fighter Squadron 11 (VFA-11), décollant du NAS Ocean et opérant dans la zone d’avertissement du W-72, signalé avoir rencontré un appareil aérien inconnu. Ce rapport est le plus spartiate dans ses détails sur les trois, mais décrit une “collision en vol proche avec un objet semblable à un ballon”.

Il s’agit d’un rapport notablement plus sérieux que les deux autres d’avril 2014. Il est également le premier à donner une description substantielle de l’objet, qui correspondrait aux deux rapports précédents d’UAD stationnaires ou quasi stationnaires à haute altitude. -altitude dans la zone d’avertissement du W-72. Encore une fois, les responsables de la marine ont envoyé une multitude d’avertissements internes.

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# 8, 13 février 2019: EA-18G Growler, Air Test and Evaluation Squadron 23

Le 13 février 2019, près de cinq ans après la dernière rencontre enregistrée avec un objet non identifié dans les bases de données du Naval Safety Center, l’équipage d’un avion de guerre électronique EA-18G Growler du Air Test and Evaluation Squadron 23 (VX-23), en volant sur la Naval Air Station Patuxent River dans le Maryland et en menant des activités dans la zone d’avertissement du W-386, ils ont repéré visuellement ce qu’ils ont spécifiquement décrit comme “un ballon météo rouge” à 27 000 pieds.

Ni le centre de contrôle et de surveillance de la flotte de Virginia Capes (FASCFAC VACAPES), à nouveau désigné par son indicatif Giant Killer, ni l’équipe Echo Control chargée de superviser les opérations dans les zones de test atlantiques au large des côtes, n’étaient au courant d’une activité de ballon planifiée. La Federal Aviation Administration ne disposait pas non plus d’avis à l’intention des aviateurs (NOTAM). Le rapport indique que la Marine n’a pas identifié les individus ou les organisations qui auraient pu libérer le ballon et a émis divers avertissements internes en réponse à l’incident.

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Plus de rapports?

Comme indiqué, ce sont les huit seuls rapports d’incident de vol ou d’incident de vol couvrant les rencontres de l’aviation navale avec des objets non identifiés, des ballons et tout autre objet similaire n’importe où qui apparaissent dans le système de sécurité Web (WESS) Aviation Accident and Hazard Reporting System (WAMHRS) , selon le Naval Safety Center. Cela est immédiatement curieux compte tenu des nombreux rapports antérieurs, notamment de The War Zone , citant des pilotes de la Marine, officieux, qui ont déclaré que ce type d’observations au-dessus de l’Atlantique se produisait fréquemment entre 2014 et 2015.

De plus, The War Zone a obtenu une copie d’un rapport d’un autre incident impliquant un F / A-18E Super Hornet du Strike Fighter Squadron 106 (VFA-106) survenu le 13 mars 2018. Le pilote dans ce cas a déclaré avoir suivi quatre objets inconnus distincts sur leur radar dans la zone d’avertissement du W-122, qui se trouve au large des côtes de la Caroline du Nord.

ANONYME

Le rapport d’incident supplémentaire que The War Zone a reçu.

Les objets volaient tous à environ 0,1 Mach à des altitudes comprises entre 16 000 et 22 000 pieds, selon le rapport. Le pilote en a identifié visuellement un à 20 000 pieds qui “semblait être un drone de type quadcopter, de 3 à 4 pieds de large”. Ils ont ajouté que les objets ne semblaient rien faire de particulier et étaient immobiles ou quasi immobiles. Ils étaient également répartis sur une zone d’environ 40 à 50 milles de large, le plus proche étant à 15 milles du bateau que le pilote a remarqué voir ci-dessous.

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Une carte de l’espace aérien montrant la zone de guerre W-122 de la côte de Caroline du Nord où l’incident dans le rapport The War Zone a apparemment eu lieu. W-72, où la majeure partie des incidents dans d’autres rapports que nous avons obtenus, a eu lieu, est visible au nord.

Cette description spécifique de quelque chose qui se rapproche d’un quadricoptère est intéressante, tout comme le fait que le rapport identifie le jet comme étant équipé d’un radar à balayage électronique actif (AESA) AN / APG-79 . La Zone de guerre a été la première à expliquer comment ce nouveau radar pour les Super Hornets F / A-18E / F pourrait leur permettre de repérer plus facilement des objets avec de petites sections transversales de radar qui seraient passés inaperçus par les précédents radars de contrôle du feu à balayage mécanique. .

Le rapport n’a pas de numéro de série, ce qui soulève des questions sur l’endroit où il aurait finalement pu être soumis et sur les mesures officielles qu’il aurait pu déclencher de la part de la Marine. D’après notre compréhension, le VFA-106 a reçu ce rapport et d’autres rapports concernant des rencontres avec des objets non identifiés, puis leur a transmis la chaîne de commandement au commandant, Strike Fighter Wing Atlantic. L’hypothèse aurait été que ceux-ci seraient ensuite allés au Naval Safety Center via WAMHRS, mais, selon notre FOIA, cela ne semble pas avoir été le cas. Étant donné les préoccupations générales en matière de sécurité que manifestaient clairement les commandants des escadrons impliqués dans de nombreux incidents, il semble étrange que ces rapports n’aient pas été intégrés à cette base de données.

Il est possible que, pour quelque raison que ce soit, ces rapports aient par la suite commencé à passer par des canaux séparés, voire classifiés, vers des commandements autres que le Naval Safety Center. Cependant, encore une fois, compte tenu des préoccupations plus larges en matière de sécurité des vols, on pourrait imaginer qu’il serait impératif d’aviser tous les éléments de l’aviation du service des risques potentiels via un rapport de danger non classifié. Le rapport du 27 avril 2014 semble montrer qu’il est possible de déclencher ce type d’alertes même avec un rapport contenant très peu de détails spécifiques.

L’existence apparente de rapports de dangers qui ne se sont pas réellement rendus au Naval Safety Center rappelle à certains égards l’enquête sur le soi-disant objet non identifié Tic Tac qu’une paire de Super Hornets F / A-18F repéré volant près de la Nimitz Carrier Strike Group en 2004. Après cette rencontre, le haut responsable du renseignement du Nimitz Carrier Strike Group a envoyé un rapport complet au bureau du renseignement de la 3e flotte de la marine américaine, dont le siège est à San Diego, en Californie, par e-mail sécurisé. Pour des raisons qui restent inexpliquées, l’officier supérieur du renseignement a refusé d’envoyer le rapport plus haut dans la chaîne de commandement et a supprimé le courrier électronique.

Ce qui est également étonnamment absent de ce groupe de documents, ce sont les rapports qui se sont produits entre la fin de 2014 et la mi-2015. Un nombre limité de témoins de haut niveau de l’équipage de conduite ont attesté que c’est à ce moment-là qu’une série de rencontres étranges se sont produites, enparticulier autour des bilans de l’USS Theodore Roosevelt  avant le déploiement. Les reportages entourant ces récits ont toujours fait l’actualité internationale et sont constamment présentés comme la preuve que les OVNIS, au moins dans le sens traditionnel, existent. Aucun rapport de sécurité sur ces rencontres n’a été publié selon les personnes officiellement chargées de les gérer.

En outre, l’un des pilotes qui a discuté publiquement de ces événements a déclaré que des rapports de sécurité entourant les incidents de 2015 avaient conduit à la publication d’un avis au membre de la direction (NOTAM) avertissant de ces risques dans l’espace aérien contrôlé au large des côtes de la Virginie, bien que nous n’avons pas pu trouver la preuve qu’un tel NOTAM existait réellement.

GOOGLE EARTH

La rampe tentaculaire à la base de chasse de la Marine sur la côte est, NAS Oceana.

Il est également curieux de constater que près de la moitié des incidents signalés provenaient d’un escadron, le VFA-11, le reste étant basé sur les expériences d’un escadron chacune. Étant donné qu’il existe de nombreux escadrons basés à NAS Oceana, et beaucoup d’autres basés dans d’autres bases à proximité, cela pourrait indiquer une situation dans laquelle seules certaines unités signalaient officiellement ces rencontres ou que les critères pour le faire variaient d’une unité à l’autre. .

Par exemple, peut-être qu’un escadron rédigerait et élèverait un rapport de sécurité si quelque chose était repéré dans une zone réglementée, tandis qu’un autre ne le ferait qu’en cas de quasi-accident. Cela pourrait également être fonction de la technologie radar que chaque unité possédait au cours de la période. Comme nous en avons discuté précédemment, il est établi que les super frelons qui avaient les radars AESA AN / APG-79 pouvaient détecter ces petits objets, contrairement aux frelons et super frelons qui avaient des matrices à balayage mécanique AN / APG-73 plus anciennes.

Ceci, combiné à la possibilité que certains de ces rapports soient acheminés par un autre canal, pourrait expliquer pourquoi si peu de rapports existent et aucun d’entre eux ne vient du moment où ces incidents étaient censés être à leur apogée en termes de fréquence. Pourtant, ce serait déroutant car il ignorerait la sécurité des aviateurs qui s’appuient sur ces informations. Il est à noter qu’une rencontre avec un engin dont la Marine a officiellement rendu public une vidéo ne figurait pas non plus dans ces rapports.

D’un autre côté, peut-être beaucoup moins de cas de cette nature se sont réellement produits que ce que l’on nous a laissé croire. Il convient également de noter que, selon les rapports que nous avons maintenant, il est clair qu’aucun de ces objets ne possédait des performances extrêmes comme certains l’ont avancé – bien au contraire en fait. Cela correspond également à ce que nous avons entendu, à la fois sur le disque et en dehors du dossier, depuis que ces événements ont été rendus publics.

Donc non, comme nous nous y attendions, il n’y a aucune preuve ici de vaisseaux volants ou de soucoupes extrêmement exotiques avec des performances cinématiques incroyables. En supposant qu’ils n’appartiennent pas au gouvernement américain, le fait qu’ils soient déployés dans un espace aérien si sensible apparemment sans entrave est une préoccupation de sécurité nationale beaucoup plus grande qu’il n’y paraît à première vue. Ce n’est pas le travail de la Marine de contrôler l’espace aérien américain, c’est celui de l’Air Force. Jusqu’à présent, le ministère de la Défense est resté silencieux sur l’implication de l’Air Force dans ces événements. Nous avons posé un certain nombre de questions spécifiques au sujet de ces faits au Département de la Défense, mais nous avons été totalement obstrués d’une manière remarquablement grossière.

Vous pouvez en apprendre plus sur cette saga bizarre dans ce dernier morceau de la nôtre , mais il suffit de dire que, dans nos tentatives d’engagement avec le DoD sur l’implication de l’Air Force dans tout cela, nous avons indirectement découvert que, selon Langley Air Force La 1re escadre de chasse de la base, qui est située très près de NAS Oceana et leurs F-22 Raptors utilisent le même espace aérien général que les Super Hornets pour s’entraîner quotidiennement, leurs équipages n’avaient pas connu de phénomènes similaires, ou du moins n’étaient pas disposés à divulguer qu’ils avaient.

Quant à ce que les équipages qui ont déposé les rapports affichés ci-dessus ont réellement vu et pourquoi ces choses étaient là où elles se trouvaient, nous pensons qu’il existe une explication, ou du moins des explications, de nature très terrestre. Nous avons détaillé certains de ces éléments à la fois directement et indirectement dans le passé , mais il suffit de dire que l’ intelligence électronique qu’un adversaire pourrait rassembler dans les champs d’entraînement fréquentés par à peu près tous les avions de chasse tactiques américains et autres avions à capteurs haut de gamme, ainsi que les combattants de surface, seraient extrêmementprécieux, d’autant plus qu’ils fonctionneraient sans entrave, en utilisant en grande partie leurs capteurs complets, la guerre électronique et les suites de communications. Cela entraînerait également un niveau de confusion tout en présentant également peu de risques. Cela ressemble à une page extraite d’un livre de jeu de plus en plus familier.

Nous approfondirons les possibilités entourant ces événements étranges au large de la côte est des États-Unis dans un article à venir, mais pour l’instant, nous avons au moins toute la documentation du rapport de sécurité que le Naval Safety Center dit avoir sur ces événements bizarres.